Page 137 - Un bout de crayon - Francis Leclerc
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au moment des attaques russes en août et octobre 44. C’est pourquoi je
            lui ai demandé d’être co-auteur de ce travail franco-lituanien.

            Helmutas Lotuzis, ami d’Egidijus, a localisé le petit cimetière de
            Liewern et la carrière de pierres d’après le dessin de René Batifouyé.
            Il a également confirmé l’authenticité de la photo de la tombe de Jean
            Ratel.


            Merci à Joseph Freymann, in memoriam, pour son accueil et sa réactivité
            suite à ma tentative de contact : son attitude, ses longues lettres sont un
            trésor de guerre. Je suis également reconaissant à sa fille qui a permis
            une émouvante rencontre le 28 juin 2017, soixante-douze ans après les
            adieux de Tambov.


            René Batifouyé a mis en alexandrins les confidences de mon père, enrichi
            leurs échanges et décrit si bien les lieux où ils ont vécu. La précision
            de ses textes quoique poétiques, a permis beaucoup de découvertes. Ne
            m’a-t-il pas promené bébé en 1947 à Quétiéville et Mirbel ?

            Nicole et Odile Songis m’ont restitué les lettres de leur oncle, point de
            départ de ce récit. Merci à Bernard Songis pour ses utiles commentaires.
            Christian Guibout pour sa collaboration concernant son père, André.
            Danielle Guibout qui a fait des recherches sur la famille Durozoi de
            Mortagne-au-Perche. Régine Guibout pour les informations sur son père
            Daniel, également prisonnier en Allemagne. Fréderic Moy qui a effectué
            une relecture historique de l’ensemble.


            Merci aux ambassades de France à Vilnius et de Lituanie en France
                                             me
            pour leur aide et en particulier à M  Aurélie Leroux, pour son accueil
            chaleureux à Vilnius en juin 2016.

                                        me
            Ma grande reconnaissance à M Germaine Couty pour m’avoir fait part
            du témoignage poignant de son mari François sur Tambov. Grâce à une
            photo envoyée par son fils Yves, Egidijus a réussi à localiser la ferme de
            Girgallen-Matz où il a travaillé. Mme Couty, qui en plus de la captivité
            de son mari, a échappé de peu au massacre d’Ouradour-sur-Glane.


            Pour terminer, nous tenons à rendre hommage à Mr Steeg qui a rache-
            té la Chapelle de Mirbel en ruines pour la restaurer et la restituer à la
            commune.




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